Oui, j’ai rêvé
Dans la cité paternelle
Je veux que la vie soit
belle
Que tout les grands de
la terre
Fassent la guerre à la
guerre
Fini le chant du clairon
Fini le bruit des canons
On entend que ma chanson
Qui s’envole à
l’horizon
Oui j’ai rêvé,
j’ai rêvé souvent
D’une cité ou dans le
réveil
Le gai soleil me ferait
chanter
Pendant que les gens
s’aimerait vraiment
Je voudrais qu’elle
renaisse
Au feu de notre jeunesse
Et qu’une amitié
profonde
S’en aille de par le
monde
Car tout les gens de la
terre
Sont pour moi comme des
frères
Bâtissons main dans la
main
La cité des lendemains.